Brassens nous parle dans une de ses célèbres chansons de « cette misérable salope, qui a couru sans vergogne et pour une escalope se jeter dans le lit du boucher. »
Je pense souvent à cette chanson lorsque je rentre dans une boucherie.Ce n'est pas le boucher qui est à plaindre. Mais son épouse qui est plus caissière que bouchère est constamment en présence de son mari. Je ne lui ai toujours pas posé la question qui me vient à l’esprit : « Votre mari est présent dans la boutique, quand vous y êtes, il est aussi chez vous le soir quand vous avez fini de travailler, à quel moment pouvez-vous caser votre amant ? »
Bien sûr, ce n’est pas important si cette dame a un amant ou pas ? Mais ce qui est grave c’est qu’elle n’ait pas la possibilité d’en avoir.Et le boucher doit être très malheureux de ne pas avoir la possibilité d'être cocu.